Il était une fois un homme sage nommé Eliakim. Un homme de grande réputation, meilleur que l’huile précieuse. De sa naissance à sa mort, Eliakim a vécu une vie de sagesse et de compréhension, reconnaissant que la sagesse est une meilleure défense que l’argent. Joyeux en jour de prospérité, mais réfléchi et attentif en temps d’adversité, il a toujours essayé de comprendre les œuvres de Dieu, malgré leur complexité.
Eliakim préférait la maison de deuil à celle de la fête, car il croyait qu’elle rappelait la fin de tous les hommes et touchait le cœur des vivants. Selon lui, le chagrin était meilleur que le rire, car par la tristesse du visage, le cœur était rendu heureux. Ses paroles encourageaient la patience et décourageaient la hâte et la colère, mettant en garde contre l’habitation de la colère dans le sein des insensés.
Eliakim proclamait toujours: « La fin d’une chose est meilleure que son début, et l’homme patient en esprit vaut mieux que l’homme fier. » Lui-même, évitant la corruption et le pot-de-vin qui rend l’homme sage insensé et détruit l’entendement, il s’efforçait de vivre avec intégrité.
Dans sa quête de sagesse et de raison, Eliakim a découvert que la méchanceté est une folie et la sottise est une démence. Il a compris que, si les hommes furent créés justes, ils ont cherché de nombreuses inventions, leurs cœurs semblables à un piège de filets et de snares.
Cependant, en dépit de ses efforts pour vivre une vie juste, Eliakim reconnaissait que même les justes commettent des péchés. Il acceptait qu’il n’y avait pas d’homme juste sur terre qui ne pêchât pas, se souvenant de ses propres fautes, avec l’humilité de ceux qui craignent Dieu.
Dans la solitude que la sagesse et la justesse peuvent parfois apporter, Eliakim encourageait les autres à ne pas prêter attention à toutes les paroles prononcées, car même le serviteur peut maudire son maître. Il vivait avec la compréhension que la vraie sagesse est plus profonde et lointaine, un trésor rare à chercher ardemment, mais aussi à recevoir avec humilité de la part de Dieu.
Cela, Eliakim a trouvé, cet homme parmi des milliers, avec une réputation meilleure que l’huile précieuse. Cette histoire est le souvenir d’Eliakim, une vie qui a souligné que le cœur du sage se trouve dans la maison du deuil, que la sagesse est une meilleure défense que l’argent, et que les craignant Dieu émergeront de toutes les épreuves de la vie.