Bible Sacrée

**L’Intégrité de Job : Un Témoignage de Fidélité** (Note: Since the original title provided is already concise, meaningful, and under 100 characters without symbols or quotes, I’ve kept it as is while ensuring it meets all requirements.) Alternative (if variation is preferred): **Job : Un Modèle d’Intégrité et de Foi** (48 characters)

**L’Intégrité de Job : Un Témoignage de Fidélité**

Au pays d’Uts, vivait un homme nommé Job, droit et intègre, craignant Dieu et se détournant du mal. Les épreuves avaient frappé sa vie, le privant de ses biens, de ses enfants et même de sa santé. Ses amis, venus le réconforter, l’accusaient secrètement d’avoir péché, persuadés que ses souffrances étaient le châtiment de quelque faute cachée. Mais Job, le cœur pur, éleva une dernière fois sa voix vers le ciel, non pour se plaindre, mais pour proclamer son innocence avec une solennelle gravité.

Sous le ciel brûlant d’Orient, assis sur la cendre, le corps couvert d’ulcères, Job fixa l’horizon d’un regard ferme et déclara :

**« J’ai fait un pacte avec mes yeux ; comment alors aurais-je fixé mon regard sur une vierge ? »**

Il savait que la convoitise naît d’abord dans le regard, et il avait discipliné son âme pour ne pas succomber aux désirs impurs. Les jeunes femmes qui passaient près de sa tente ne craignaient rien de lui, car il les considérait avec la même pudeur qu’une sœur.

**« Si mon cœur s’est laissé séduire, et si j’ai dressé des embûches à la porte de mon prochain… »**

Non, jamais il n’avait tramé de complot contre l’homme qui lui faisait confiance. Il se souvenait des marchands venus de lointaines contrées, lui confiant leurs richesses en gage. Jamais il n’avait abusé de leur confiance. Au contraire, il avait veillé sur leurs biens comme si c’étaient les siens.

**« Si j’ai méprisé la cause de mon serviteur ou de ma servante lorsqu’ils étaient en litige avec moi… »**

Même envers ceux qui dépendaient de lui, Job avait agi avec justice. Si un esclave se plaignait d’un traitement injuste, il l’écoutait avec patience, reconnaissant que, devant Dieu, maître et serviteur étaient égaux.

**« Si j’ai refusé aux pauvres ce qu’ils désiraient, ou si j’ai laissé languir les yeux de la veuve… »**

Sa main s’était toujours ouverte pour l’indigent. Les voyageurs affamés trouvaient à sa table un repas généreux ; les veuves recevaient de la laine pour vêtir leurs enfants ; les orphelins n’étaient pas abandonnés à leur sort.

**« Si j’ai vu un homme sans vêtement, périssant de froid, et que je ne l’aie point couvert… »**

Les nuits glaciales du désert étaient redoutables, et Job savait que celui qui négligeait un malheureux tremblant sous la bise était coupable de son sang. Lui, dès qu’il voyait un homme dénué, il lui offrait son propre manteau.

**« Si j’ai mis dans l’or ma confiance, si j’ai dit à l’or pur : Tu es mon espoir… »**

Les richesses ne l’avaient jamais ébloui au point d’en faire son idole. Il savait que l’or était éphémère, et que la vraie sécurité venait de Dieu seul.

**« Si je me suis réjoui de la ruine de celui qui me haïssait, si j’ai exulté quand le mal l’a frappé… »**

Même envers ses ennemis, son cœur était sans haine. Il n’avait jamais dansé sur les tombes de ses adversaires, car il craignait que Dieu ne lui demande compte de cette joie cruelle.

**« Si les hommes de ma tente n’ont pas dit : Qui trouvera quelqu’un qui n’ait pas été rassasié de sa viande ? »**

L’hospitalité de Job était légendaire. Aucun étranger ne repartait de chez lui le ventre vide. Les chefs de caravanes, les nomades, tous savaient qu’à la demeure de Job, on partageait le pain sans compter.

**« Si j’ai caché mes transgressions comme Adam, en dissimulant mon iniquité dans mon sein… »**

Non, il n’avait rien caché. Il avait marché à la lumière, confessant ses fautes devant Dieu sans chercher à les ensevelir dans l’ombre.

Et enfin, levant les yeux vers le ciel, Job prononça ces mots :

**« Oh ! Si j’avais quelqu’un qui m’écoute ! Voici ma signature : que le Tout-Puissant me réponde ! »**

Il savait que Dieu seul pouvait attester de son intégrité. Et bien que les ténèbres l’environnassent, il gardait l’assurance que, tôt ou tard, la justice divine éclaterait.

Ainsi se termina la défense de Job, non par une plainte, mais par un acte de foi. Il avait exposé sa vie devant le tribunal céleste, certain que le Juge de toute la terre ferait triompher la vérité.

Et Dieu, dans sa sagesse infinie, allait bientôt lui répondre du sein de la tempête.

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