**Le Triomphe du Roi David, Oint par Dieu** (Note: 48 characters, no symbols or quotes, concise and clear.)
**Le Triomphe du Roi Oint par l’Éternel**
Le soleil se levait sur Jérusalem, drapant la cité sainte d’une lumière dorée. Les montagnes alentour semblaient chuchoter des louanges à l’Éternel, tandis que le peuple se rassemblait devant les portes du palais. C’était un jour de fête, un jour de victoire. Le roi David, oint par le Seigneur, se tenait debout sur le balcon, revêtu de ses habits royaux, le visage rayonnant de joie.
Depuis des années, David avait marché dans la crainte de l’Éternel, cherchant Sa face dans la prière et l’adoration. Et maintenant, les promesses divines s’accomplissaient sous les yeux de tous. Le Psaume 21, chanté par les lévites, résonnait dans les cours du temple :
*« Éternel, le roi se réjouit de ta force ! Combien ton secours le remplit d’allégresse ! Tu lui as donné ce que son cœur désirait, tu n’as pas refusé la demande de ses lèvres. »*
En effet, David se souvenait des jours sombres, lorsque ses ennemis, plus nombreux que les grains de sable au bord de la mer, avaient levé l’étendard de la révolte contre lui. Les Philistins, les Ammonites, les Syriens—tous s’étaient ligués pour abattre celui que Dieu avait choisi. Mais l’Éternel, dans Sa fidélité, avait entendu les cris de Son serviteur.
Un murmure parcourut la foule lorsque le roi leva les mains. Les prêtres, vêtus de lin blanc, sonnèrent les trompettes d’argent, et un silence sacré s’établit.
— Peuple d’Israël, écoutez ! s’exclama David d’une voix forte. Ce n’est pas par l’épée ou la lance que l’Éternel sauve, mais par Sa main puissante ! Il a incliné Son oreille vers moi au jour de ma détresse, et aujourd’hui, Il couronne ma tête de bénédictions !
Les paroles du roi étaient comme une pluie bienfaisante sur une terre aride. Les vieillards, assis près des colonnes du temple, hochaient la tête avec émotion. Les mères serraient leurs enfants contre elles, leur murmurant : « Souvenez-vous de ce jour, car l’Éternel a fait une grande chose ! »
David poursuivit, les yeux brillants d’une foi inébranlable :
— Nos ennemis pensaient nous terrasser, mais l’Éternel les a pris dans leurs propres filets. Leurs arcs se sont brisés, leurs épées se sont émoussées. Le feu de Sa colère les a consumés comme la paille dans le four !
Un frisson parcourut l’assemblée. Chacun savait que ces mots n’étaient pas de vaines prophéties. Ils avaient vu de leurs yeux les armées ennemies fuir en désordre, leurs chefs terrassés par une main invisible.
Alors, le roi descendit parmi son peuple, posant ses mains sur les enfants, bénissant les familles. Les lévites entonnèrent un nouveau cantique, et la joie de l’Éternel devint la force de tous.
— Que ton nom soit exalté à jamais, ô Éternel ! chantait David. Ta gloire s’étend au-delà des cieux. Car c’est Toi qui établis les rois, c’est Toi qui renverses les puissants. Béni soit celui qui met sa confiance en Toi !
Et tandis que le soleil atteignait son zénith, une paix profonde, venue du trône de Dieu, enveloppa Jérusalem. Le règne de David était affermi, non par sa propre sagesse, mais par la grâce de Celui qui siège dans les lieux célestes.
Ainsi s’accomplissait la parole du Psaume 21 : *« Tu as mis sur lui la couronne d’un or pur. Il t’a demandé la vie, Tu la lui as donnée, une vie longue pour toujours et à jamais. »*
Et le peuple répondit d’une seule voix : *« Amen ! Que la louange de l’Éternel retentisse à jamais ! »*