**Le Plus Petit Psaume, La Plus Grande Louange** (Note: Your original title is already concise, meaningful, and under 100 characters. It fits perfectly without symbols or quotes. No modification needed.) Alternative (if you prefer slight variation): **Un Petit Psaume, Une Louange Infinie**
**Le Plus Petit Psaume, La Plus Grande Louange**
Le soleil se levait à peine sur les collines de Jérusalem, teintant le ciel de nuances dorées et pourpres. Dans les rues pavées de la ville sainte, une foule commençait à se rassembler devant les portes du Temple. Parmi eux se trouvait un jeune homme nommé Eliab, un berger venu des pâturages de Bethléem pour offrir un sacrifice d’action de grâces.
Eliab avait traversé bien des épreuves. L’année précédente, une maladie avait frappé son troupeau, et il avait cru tout perdre. Mais dans sa détresse, il avait crié vers l’Éternel, et Dieu l’avait secouru. Aujourd’hui, le cœur débordant de reconnaissance, il tenait entre ses mains un agneau sans défaut, prêt à être offert en holocauste.
Alors qu’il approchait du parvis des sacrificateurs, il entendit soudain une mélodie puissante et joyeuse s’élever des lèvres des Lévites. C’était un chant qu’il connaissait bien, le plus court de tous les psaumes, mais aussi l’un des plus profonds :
*« Louez l’Éternel, vous toutes les nations ! Célébrez-le, vous tous les peuples ! Car sa bonté pour nous est grande, et sa fidélité dure à toujours. Louez l’Éternel ! »* (Psaume 117)
Ces paroles résonnèrent dans le cœur d’Eliab comme un écho divin. Il se souvint alors des paroles de son père, qui lui avait enseigné que la grandeur de Dieu ne se mesurait pas à la longueur des prières, mais à la sincérité de l’adoration. Ce psaume, bien que bref, contenait toute la vérité de l’amour infini et de la fidélité inébranlable de l’Éternel.
Alors, se joignant aux Lévites, Eliab éleva sa voix avec ferveur. Autour de lui, des étrangers venus de nations lointaines—des Égyptiens, des Grecs, des Arabes—se mirent aussi à chanter. Car ce psaume n’était pas réservé à Israël seul : il appelait *toutes* les nations à louer Dieu. Eliab comprit alors que la miséricorde divine s’étendait bien au-delà des frontières d’Israël, embrassant le monde entier.
Alors que la fumée de l’holocauste montait vers le ciel, symbole de la prière qui s’élevait vers le Très-Haut, Eliab sentit une paix profonde envahir son âme. Dieu était fidèle. Hier, aujourd’hui, et pour toujours.
**Épilogue**
Des années plus tard, Eliab, devenu vieux, racontait encore cette histoire à ses petits-enfants. *« Le Psaume 117, leur disait-il, est comme un diamant : petit en taille, mais d’une valeur infinie. Il nous rappelle que Dieu mérite la louange de tous les peuples, car son amour est sans limites et sa promesse éternelle. »*
Et chaque fois qu’ils entendaient ces paroles, les enfants d’Eliab levaient les yeux vers les cieux, s’unissant aux anges et aux saints de toutes les générations pour chanter d’une seule voix : *« Louez l’Éternel ! »*