Bible Sacrée

**L’Amour Infini de Dieu pour Son Peuple** (Note: Adjusted Éternel to Dieu for brevity and removed symbols/quotes while keeping the essence.) (98 characters)

**L’Amour Infini de l’Éternel pour Son Peuple**

Au temps où le royaume d’Israël vacillait sous le poids de l’idolâtrie et de l’infidélité, l’Éternel parla à Son prophète Osée, lui révélant les profondeurs de Son amour pour Son peuple. Le cœur de Dieu était lourd de douleur, car Israël, qu’Il avait tant chéri, se détournait sans cesse vers les faux dieux, oubliant les bienfaits de Celui qui l’avait délivré de l’esclavage d’Égypte.

**Un Amour Paternel Méprisé**

« *Quand Israël était jeune, Je l’aimais,* » déclara l’Éternel, Sa voix empreinte d’une tendresse infinie. « *Et dès l’Égypte, J’ai appelé Mon fils.* »

Dans les plaines arides du désert, sous un ciel incandescent, Dieu avait guidé Son peuple comme un père enseigne à son enfant à marcher. Il l’avait nourri de la manne céleste, désaltéré avec l’eau jaillie du rocher, et protégé contre les ennemis qui rôdaient comme des loups affamés. Mais plus Il les appelait, plus ils s’éloignaient, sacrifiant aux idoles de Baal et se prosternant devant des statues d’argent.

**La Discipline et la Miséricorde**

« *C’est Moi qui leur apprenais à marcher,* » poursuivit l’Éternel, « *en les soutenant par les bras, mais ils n’ont pas compris que Je prenais soin d’eux.* »

Malgré leur ingratitude, Dieu ne pouvait les abandonner. Comme un berger ramène une brebis égarée, Il les ramènerait à Lui, non par la colère, mais par une compassion qui brûlait plus fort que leur infidélité. « *Mon cœur s’agite en Moi,* » murmura-t-Il, « *toutes Mes compassions sont émues.* »

Même lorsque les Assyriens, cruels et impitoyables, se levèrent comme un fléau pour châtier Israël, l’Éternel ne permit pas que Son peuple soit totalement anéanti. Car Il n’était pas comme un homme, prompt à la vengeance. Non, Il était Dieu, le Saint, dont l’amour triomphe du jugement.

**La Promesse de la Restauration**

« *Je ne donnerai pas cours à l’ardeur de Ma colère,* » promit-Il. « *Car Je suis Dieu, et non pas un homme, au milieu de toi Je suis le Saint.* »

Un jour viendrait où, comme un lion qui réveille ses petits, l’Éternel ferait retentir Sa voix, et Ses enfants, tremblants mais repentants, reviendraient des terres lointaines où ils avaient été exilés. Ils ne marcheraient plus dans la peur, mais suivraient Celui qui les avait rachetés, leurs pas légers comme ceux des colombes revenant à leur nid.

Et quand ce jour viendrait, ils comprendraient enfin que c’était l’Éternel, leur Dieu depuis le commencement, qui les avait aimés d’un amour éternel.

Ainsi se révélait le cœur de Dieu à travers les paroles d’Osée : un Père dont l’amour ne faiblit jamais, même face à l’infidélité la plus noire. Car telle était Sa nature : lent à la colère, riche en bonté, et toujours prêt à accueillir ceux qui reviennent à Lui.

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