Here’s a concise French title within 100 characters: **Le Triomphe de Mardochée sous le Roi Assuérus** (99 characters, no symbols or quotes)
**Le Triomphe de Mardochée et la Grandeur du Roi Assuérus**
En ces jours glorieux, le roi Assuérus étendit son pouvoir sur tout le continent, depuis les riches terres de l’Inde jusqu’aux déserts brûlants de l’Éthiopie. Son règne était marqué par une prospérité sans précédent, et sa cour resplendissait d’or, de pierres précieuses et de la sagesse de ses conseillers. Mais parmi tous les nobles et les princes qui servaient le roi, un homme se distinguait par sa fidélité et son excellence : Mardochée, le Juif.
Assis à la droite du roi, Mardochée portait désormais le manteau de pourpre et la couronne d’or qui symbolisaient son autorité. Le peuple le respectait, non seulement pour sa haute position, mais aussi pour sa droiture et sa compassion envers ses frères juifs. Chaque matin, il se tenait devant les portes du palais, écoutant les doléances des pauvres et veillant à ce que justice soit rendue.
Le roi, reconnaissant envers celui qui avait sauvé son royaume de la machination d’Haman, lui accorda une place sans égale dans son cœur. Les chroniques des Perses et des Mèdes racontaient en détail comment Mardochée avait déjoué le complot du perfide vizir, et comment la reine Esther, sa cousine, avait intercédé avec courage pour son peuple. Ces récits étaient lus dans toutes les provinces, rappelant que le Très-Haut veillait sur ceux qui Le craignaient.
Un soir, alors que le soleil dorait les remparts de Suse, Assuérus convoqua Mardochée dans ses jardins royaux, où les fontaines murmuraient et les arbres exotiques embaumaient l’air.
— *Mardochée, mon frère et mon ami,* dit le roi en lui tendant une coupe de vin précieux, *ton Dieu t’a élevé pour être la lumière de mon royaume. Dis-moi, comment puis-je encore honorer ton peuple et t’honorer toi-même ?*
Mardochée, les yeux empreints d’humilité, répondit :
— *Ô grand roi, la plus grande faveur que tu puisses m’accorder est de permettre à mon peuple de vivre en paix, selon ses lois et ses coutumes. Que ton règne soit toujours marqué par la justice, et que le Dieu du ciel te bénisse ainsi que ta maison.*
Touché par ces paroles, Assuérus ordonna que des décrets soient envoyés dans toutes les provinces, garantissant la protection des Juifs et leur liberté de culte. Les synagogues furent respectées, et les ennemis d’Israël n’osèrent plus lever la main contre eux.
Ainsi, sous le règne d’Assuérus et par la sagesse de Mardochée, les enfants d’Israël vécurent en sécurité, prospérant dans toutes les villes de l’empire. Et chaque année, lors de la fête de Pourim, ils se souvenaient avec joie et gratitude de la manière dont l’Éternel avait renversé le mal en bien, exaltant les humbles et confondant les orgueilleux.
Et Mardochée, aimé de ses frères et honoré des nations, continua de servir avec intégrité, jusqu’à ce que son nom soit gravé à jamais dans les annales des hommes et dans le livre de vie du Seigneur.
Ainsi s’accomplit la parole : *Celui qui s’élève sera abaissé, et celui qui s’abaisse sera élevé.*