Here are a few title suggestions in French (under 100 characters, without symbols or quotes): 1. **Jésus guérit un homme à la main paralysée un jour de sabbat** 2. **La guérison de la main paralysée et l’appel des disciples** 3. **Jésus montre sa puissance un jour de sabbat** 4. **Un miracle de Jésus et le choix des douze apôtres** 5. **La main guérie et la vraie famille de Jésus** Let me know if you’d like any adjustments!
**Jésus et la Guérison de l’Homme à la Main Paralysée**
Un jour de sabbat, Jésus entra de nouveau dans la synagogue de Capharnaüm. Le soleil matinal filtrait à travers les ouvertures, éclairant les visages attentifs des fidèles assemblés. Parmi eux se trouvait un homme dont la main droite était paralysée, desséchée, incapable du moindre mouvement. Les regards des scribes et des pharisiens se portaient alternativement sur lui et sur Jésus, guettant la réaction du Maître.
Les murmures emplissaient la salle. Certains chuchotaient : « Va-t-il le guérir aujourd’hui, un jour de sabbat ? » Les chefs religieux, le cœur endurci, espéraient l’accuser d’avoir violé la loi mosaïque. Jésus, percevant leurs pensées, sentit une tristesse profonde devant leur hypocrisie.
Il fit alors signe à l’homme de s’avancer. Celui-ci, hésitant sous le poids des regards désapprobateurs, se leva et se plaça au milieu de l’assemblée. Jésus, d’une voix claire et puissante, interrogea les pharisiens :
— *Est-il permis, le jour du sabbat, de faire du bien ou de faire du mal, de sauver une vie ou de la perdre ?*
Un silence pesant s’installa. Aucun d’eux n’osait répondre, car dans leur cœur, ils savaient que la miséricorde surpassait les règles rigides. Jésus promena son regard sur eux, son expression mêlant douleur et autorité. Puis, se tournant vers l’homme, il lui ordonna :
— *Étends ta main.*
L’homme, bien que sa main fût inerte depuis des années, obéit avec foi. À l’instant même, ses muscles se tendirent, les nerfs reprirent vie, et sa main se déploya, souple et forte, comme si elle n’avait jamais été malade. Un murmure d’émerveillement parcourut la foule, mais les pharisiens, loin de se réjouir, sortirent furieux, complotant déjà avec les hérodiens pour le faire périr.
**L’Appel des Douze**
Jésus, sachant que son temps était compté, gravit ensuite une colline solitaire près du lac. La brise soufflait doucement, portant le parfum des fleurs sauvages. Là, dans la tranquillité, il passa toute la nuit en prière, implorant le Père pour choisir ceux qui continueraient son œuvre.
Au lever du soleil, il appela ceux qu’il voulait, et ils vinrent à lui. Parmi eux, il y avait Simon, qu’il nomma Pierre, et Jacques, fils de Zébédée, avec son frère Jean, qu’il surnomma *Boanergès*, c’est-à-dire *fils du tonnerre*, à cause de leur zèle ardent. Puis André, Philippe, Barthélemy, Matthieu le publicain, Thomas, Jacques fils d’Alphée, Thaddée, Simon le Zélote, et Judas Iscariot, celui qui plus tard le trahirait.
Devant eux, Jésus déploya sa mission : ils devaient prêcher avec autorité, chasser les démons, et guérir les malades. Leur cœur brûlait d’un feu nouveau, mais ils ne comprenaient pas encore pleinement le chemin de souffrance qui les attendait.
**La Maison Assiégée et le Péché Impardonnable**
De retour en ville, la foule se pressait autour de Jésus avec une telle ferveur que lui et ses disciples ne pouvaient même pas manger. Sa famille, inquiète, vint pour le ramener, croyant qu’il avait perdu la raison.
Pendant ce temps, les scribes venus de Jérusalem l’accusaient :
— *Il est possédé par Béelzébul ! C’est par le pouvoir du prince des démons qu’il chasse les démons.*
Jésus, les regardant avec une sagesse infinie, répondit par des paraboles :
— *Comment Satan peut-il chasser Satan ? Un royaume divisé contre lui-même ne peut subsister. Si un homme entre dans la maison d’un homme fort pour la piller, il doit d’abord lier l’homme fort. Alors seulement, il pillera sa maison.*
Puis, d’une voix grave, il ajouta :
— *Tous les péchés seront pardonnés aux fils des hommes, même les blasphèmes qu’ils proféreront. Mais celui qui blasphème contre l’Esprit Saint n’obtiendra jamais de pardon, il est coupable d’un péché éternel.*
Car ces hommes, en attribuant à Satan l’œuvre de l’Esprit, se fermaient délibérément à la grâce divine.
**La Vraie Famille de Jésus**
Alors que Jésus enseignait, on lui annonça :
— *Ta mère et tes frères sont dehors, ils te cherchent.*
Mais Jésus, levant les yeux sur ceux qui l’entouraient, déclara :
— *Qui est ma mère, et qui sont mes frères ?*
Puis, désignant ses disciples d’un geste empreint d’amour, il dit :
— *Voici ma mère et mes frères. Car quiconque fait la volonté de Dieu, celui-là est mon frère, ma sœur, ma mère.*
Ainsi, Jésus établissait une nouvelle famille, non plus selon la chair, mais selon l’Esprit. Et ceux qui l’écoutaient sentirent leur cœur s’embraser d’une joie ineffable, car ils comprenaient qu’en lui, ils étaient devenus enfants de Dieu.