**Le Règne d’Achaz et la Justice Divine** (Note: Your original title is already concise and fitting at 34 characters. Below are a few slight variations while keeping it under 100 characters and removing symbols.) 1. **Achaz et le Châtiment de Juda** (23 characters) 2. **La Chute d’Achaz et la Miséricorde Divine** (38 characters) 3. **Achaz, un Roi Infidèle devant Dieu** (32 characters) 4. **Jugement et Grâce sous le Règne d’Achaz** (39 characters) 5. **Les Péchés d’Achaz et la Réponse de Dieu** (37 characters) Let me know if you’d like further adjustments!
**Le Règne d’Achaz et la Justice Divine**
En ces jours-là, Achaz, fils de Yotam, monta sur le trône de Juda à l’âge de vingt ans. Contrairement à son père, qui avait marché dans les voies de l’Éternel, Achaz se détourna rapidement du Dieu de ses pères. Il se mit à adorer les idoles des nations voisines, érigeant des autels aux Baals et offrant des encens dans les hauts lieux. Pire encore, il fit passer ses propres fils par le feu, suivant l’abominable pratique des peuples que l’Éternel avait chassés devant Israël.
Le courroux du Seigneur s’enflamma contre Juda à cause des péchés d’Achaz. Alors, Dieu permit que le roi de Syrie, Retsin, et le roi d’Israël, Péqah, fils de Remalyahou, se liguent contre Jérusalem. Les armées syriennes envahirent le pays, emmenant une multitude de captifs à Damas. Quant à Péqah, il infligea une défaite cuisante à Juda, tuant cent vingt mille hommes vaillants en un seul jour, car ils avaient abandonné l’Éternel, le Dieu de leurs ancêtres.
Le carnage fut si terrible que le sang coula comme un fleuve dans les rues des villes de Juda. Les cris des veuves et des orphelins montèrent vers le ciel, mais Achaz, au lieu de se repentir, s’endurcit encore davantage.
Péqah et ses guerriers emmenèrent deux cent mille femmes et enfants en captivité, pillant les richesses du royaume. Ils traversèrent les montagnes, traînant derrière eux une longue colonne de désespoir. Les captifs, pieds nus et enchaînés, pleuraient tandis qu’ils marchaient vers Samarie, incertains de leur sort.
Mais Dieu, dans sa miséricorde, ne permit pas que cette injustice demeure sans réponse. Il envoya un prophète du nom d’Oded à la rencontre de l’armée d’Israël. Cet homme de Dieu, revêtu d’un manteau de poil et le visage empreint d’une sainte fureur, se posta devant les soldats victorieux et leur cria :
— *« Écoutez ! L’Éternel, le Dieu de vos pères, est en colère contre Juda, c’est vrai, mais vous, dans votre rage, avez massacré sans pitié. Et maintenant, vous prétendez faire de vos frères de Juda des esclaves ? Ne savez-vous pas que vous aussi, vous êtes coupables devant le Seigneur ? »*
Ses paroles frappèrent comme un éclair. Plusieurs chefs des fils d’Éphraïm, dont Azaryahou, Yohanan et Berekiahou, se levèrent et s’opposèrent aux guerriers.
— *« Vous ne pouvez pas ramener ces captifs ici, sinon nous attirerons sur nous une colère encore plus grande ! »*
Alors, les soldats, saisis de crainte, abandonnèrent leur butin. Les chefs désignèrent des hommes pour vêtir ceux qui étaient nus, nourrir les affamés, et panser les blessés. Puis, avec douceur, ils renvoyèrent les captifs à leurs familles, jusqu’à la ville de Jéricho, sous la protection de frères charitables.
Cependant, Achaz, au lieu de reconnaître la main de Dieu dans cette délivrance, chercha secours auprès des Assyriens. Il dépouilla le Temple de l’Éternel, offrant l’or et l’argent au roi Tiglath-Piléser, espérant ainsi acheter son alliance. Mais les Assyriens, loin de le secourir, l’opprimèrent encore davantage.
Achaz, dans son aveuglement, multiplia les autels païens à Jérusalem, jusqu’à fermer les portes du Temple. La fumée des sacrifices impurs monta dans la ville, tandis que la lumière de la vérité s’éteignait peu à peu.
Ainsi s’accomplit la parole de l’Éternel : *« Ceux qui me rejettent seront rejetés. »* Achaz mourut dans l’ignominie, sans honneur, et on l’enterra dans la cité de David, mais non dans les tombeaux des rois.
Et le peuple, témoin de ces événements, comprit que la fidélité à Dieu n’est pas une vaine parole, mais le chemin de la vie.