Bible Sacrée

**La Promesse Divine à Baruch** (Note: 29 characters, well within the 100-character limit, concise and clear while capturing the essence of the story.) Alternatives (if you prefer slight variations): – **Dieu Réconforte Baruch** (18 characters) – **La Prophétie de Baruch** (20 characters) – **Baruch et la Grâce Divine** (23 characters) Let me know if you’d like further adjustments!

**La Prophétie de Réconfort pour Baruch**

Dans les jours tumultueux du royaume de Juda, alors que les armées de Babylone resserraient leur étreinte autour de Jérusalem, un homme nommé Baruch, fils de Nérija, servait fidèlement le prophète Jérémie. Baruch n’était pas un simple scribe ; il était celui qui, avec une main tremblante, avait transcrit les paroles brûlantes de Dieu sous la dictée de Jérémie, des paroles qui annonçaient la chute imminente de la nation rebelle.

Un soir, alors que les cris des sentinelles résonnaient sur les remparts et que l’odeur de la peur planait dans les ruelles étroites de la ville, Baruch s’assit dans la pénombre de sa modeste demeure. Le poids de ses labeurs et des malédictions prononcées contre Juda pesait lourdement sur son cœur. Il soupira profondément, les rouleaux de parchemin étalés devant lui, les encriers à moitié vides témoignant des heures passées à écrire.

*« Pourquoi ma vie est-elle ainsi remplie de douleur ? »* murmura-t-il en frottant ses tempes. *« J’ai servi fidèlement, j’ai écrit les paroles du Seigneur, et pourtant, je ne vois que désolation autour de moi. Où est ma récompense ? Où est la paix que méritent ceux qui craignent Dieu ? »*

Dieu, dans sa miséricorde infinie, entendit la plainte de son serviteur. Le lendemain, alors que Baruch se tenait aux côtés de Jérémie dans la cour du temple, une parole du Seigneur lui fut adressée. Jérémie, les yeux empreints d’une solennité divine, se tourna vers lui et dit :

*« Ainsi parle l’Éternel, le Dieu d’Israël, à ton sujet, Baruch : Tu as dit : « Malheur à moi, car l’Éternel ajoute la tristesse à ma peine ! Je m’épuise à gémir, et je ne trouve point de repos. » Mais voici ce que déclare le Seigneur : Ce que j’ai bâti, je le renverse ; ce que j’ai planté, je l’arrache, savoir tout ce pays. Et toi, tu recherches de grandes choses pour toi-même ? Ne les recherche pas ! Car voici, je vais faire venir le malheur sur toute chair, dit l’Éternel ; mais je te donnerai ta vie comme butin, dans tous les lieux où tu iras. »*

Ces paroles frappèrent Baruch comme un vent violent. Il comprit alors que dans un monde où tout s’écroulait, la grâce de Dieu demeurait. Le Seigneur ne lui promettait ni richesse, ni gloire terrestre, mais quelque chose de bien plus précieux : la préservation de sa vie au milieu du jugement.

Les jours qui suivirent furent marqués par des batailles sanglantes et des murs qui s’effondraient sous les béliers ennemis. Mais Baruch, bien que témoin de la destruction, garda cette promesse gravée dans son cœur. Lorsque les Babyloniens pénétrèrent enfin dans la ville, emmenant captifs les survivants, la main de Dieu fut sur lui. Il échappa à l’épée, à la famine, et à la déportation immédiate, protégé par la fidélité du Très-Haut.

Des années plus tard, alors qu’il vivait en exil, Baruch se souvenait encore de cette parole. Il avait compris que dans un monde éphémère, la véritable sécurité ne se trouvait pas dans les honneurs ou les possessions, mais dans la promesse de Celui qui tient toutes choses entre ses mains.

Ainsi, la vie de Baruch devint un témoignage silencieux : même au milieu des tempêtes, ceux qui se confient en l’Éternel ne seront jamais abandonnés.

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