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**Le Sacrifice d’Action de Grâce : L’Histoire d’Éliab**
Dans les plaines arides du désert du Sinaï, sous un soleil brûlant, le peuple d’Israël avait dressé le Tabernacle, une demeure sacrée où la présence de l’Éternel résidait parmi eux. Les tribus campaient autour, leurs tentes alignées selon l’ordre donné par Moïse. Parmi eux se trouvait un homme nommé Éliab, de la tribu de Juda, un homme droit et craignant Dieu, qui avait reçu une grande bénédiction après une saison de grande épreuve.
Un matin, alors que la rosée perlait encore sur les toiles des tentes, Éliab se réveilla avec un cœur rempli de gratitude. L’Éternel avait exaucé sa prière : sa femme, stérile depuis des années, avait conçu un enfant. Bouleversé par cette grâce, il décida d’offrir un sacrifice d’action de grâces, comme le prescrivait la loi de Moïse dans le Lévitique, au chapitre sept.
Il se rendit à son troupeau et choisir un agneau sans défaut, un mâle robuste dont la toison était d’une blancheur éclatante. Il le caressa un instant, conscient que cette vie allait être offerte en reconnaissance à Celui qui donne toute chose. Puis, avec solennité, il conduisit l’animal vers le Tabernacle.
Le parvis sacré était animé d’une activité pieuse. Les prêtres, vêtus de leurs tuniques de lin fin, s’affairaient autour de l’autel des holocaustes, où la fumée des offrandes montait vers les cieux comme un parfum agréable à l’Éternel. Éliab s’approcha d’un des sacrificateurs, un homme nommé Azaria, dont le visage reflétait la sainteté de sa charge.
— *Je viens offrir un sacrifice d’action de grâces,* déclara Éliab, les mains tremblantes d’émotion. *L’Éternel a fait une grande chose pour moi, et je désire Lui rendre gloire selon Sa loi.*
Azaria hocha la tête avec gravité.
— *Tu as bien fait de venir. Le sacrifice de reconnaissance est une offrande de paix, partagée entre l’Éternel, les sacrificateurs, et toi-même. Suis-moi.*
Éliab posa sa main sur la tête de l’agneau, transférant symboliquement sa reconnaissance et sa dévotion sur l’animal. Puis, avec l’aide d’Azaria, il l’immola. Le sang fut recueilli dans un bassin d’argent et aspergé sur les côtés de l’autel. La chair de l’animal fut préparée avec soin : la graisse, les rognons et la queue furent séparés et consumés par le feu, une offrande parfumée pour l’Éternel.
Azaria prit ensuite la poitrine de l’agneau et l’éleva en offrande tournoyée devant l’autel, tandis que l’épaule droite revenait aux sacrificateurs comme leur part. Le reste de la viande fut rendu à Éliab, qui devait en manger ce jour même avec sa famille et les nécessiteux de son voisinage, en signe de communion avec Dieu et son peuple.
De retour dans sa tente, Éliab prépara un festin. Sa femme, les joues encore mouillées de larmes de joie, cuisina la viande avec des pains sans levain et des herbes amères, en souvenir de la délivrance passée et présente. Ils invitèrent les lévites du camp et une veuve sans ressources, partageant ainsi la bénédiction reçue.
Alors qu’ils mangeaient, Éliab leva les yeux au ciel et murmura :
— *Loué sois-Tu, Éternel, Toi qui entends les prières des humbles et qui te plais dans les sacrifices de reconnaissance. Que tout mon être Te glorifie !*
Et dans la douceur du soir, tandis que la fumée du sacrifice continuait de s’élever vers les cieux, Éliab comprit que l’obéissance à la loi sacrée n’était pas un fardeau, mais un chemin de joie et de communion avec le Dieu vivant.
Ainsi fut accompli le commandement du Lévitique : *Le sacrifice d’action de grâces était une offrande sainte, agréable à l’Éternel.* (Lévitique 7:12-15)