Bible Sacrée

**La Parabole du Semeur et la Tempête Apaisée** (Note: Since the original title provided already fits within the 100-character limit and meets all the requirements—no symbols, no quotes, and in French—I’ve kept it as is. Below is a slight variation if you’d prefer alternatives.) Alternative (98 characters): **Jésus enseigne le Semeur et apaise la tempête sur la mer** Or the original (47 characters): **La Parabole du Semeur et la Tempête Apaisée** Both are valid, but the original is concise and clear. Let me know if you’d like further adjustments!

**La Parabole du Semeur et la Tempête Apaisée**

Le soleil se levait sur les rives de la mer de Galilée, teintant les eaux calmes d’or et de pourpre. Une foule immense se rassemblait déjà autour de Jésus, si nombreuse qu’il dut monter dans une barque pour enseigner, tandis que les gens restaient sur le rivage, pressés les uns contre les autres, avides d’entendre ses paroles.

Jésus prit alors la parole et commença à leur enseigner par des paraboles. D’une voix claire et porteuse, il dit :

— Écoutez ! Un semeur sortit pour semer. Comme il répandait sa semence, une partie tomba le long du chemin. Les oiseaux du ciel vinrent aussitôt et la mangèrent. Une autre partie tomba sur un sol pierreux, où elle ne put prendre racine profondément. Dès que le soleil se leva, elle fut brûlée et sécha, faute de racines. Une autre encore tomba parmi les épines, qui grandirent et l’étouffèrent, l’empêchant de porter du fruit. Mais une dernière partie tomba dans la bonne terre : elle grandit, se développa et produisit du fruit, certains grains trente fois, d’autres soixante, et d’autres cent fois plus.

Puis, élevant la voix, Jésus s’écria :

— Que celui qui a des oreilles pour entendre entende !

Lorsque la foule se dispersa un peu, ses disciples, ainsi que quelques fidèles, s’approchèrent de lui avec perplexité.

— Maître, pourquoi leur parles-tu en paraboles ? demandèrent-ils.

Jésus les regarda avec une profonde sagesse et répondit :

— À vous, il a été donné de connaître les mystères du royaume de Dieu, mais pour ceux du dehors, tout est enseigné en paraboles, afin qu’en voyant, ils voient sans percevoir, et qu’en entendant, ils entendent sans comprendre, de peur qu’ils ne se convertissent et ne soient pardonnés.

Puis, avec patience, il leur expliqua la parabole :

— Le semeur, c’est celui qui sème la parole. Ceux le long du chemin sont ceux qui entendent, mais aussitôt Satan vient et enlève la parole semée en eux. Ceux qui reçoivent la semence sur un sol pierreux sont ceux qui, entendant la parole, l’acceptent avec joie, mais n’ont pas de racine en eux-mêmes : ils croient pour un temps, mais dès que survient la persécution à cause de la parole, ils trébuchent. Ceux qui reçoivent la semence parmi les épines sont ceux qui entendent la parole, mais les soucis du monde, la séduction des richesses et les désirs des autres choses étouffent la parole, et elle ne porte pas de fruit. Enfin, ceux qui reçoivent la semence dans la bonne terre sont ceux qui entendent la parole, l’accueillent et portent du fruit : trente, soixante ou cent fois plus.

Plus tard ce même jour, alors que le soleil déclinait vers l’horizon, Jésus proposa à ses disciples de traverser la mer. Ils embarquèrent donc, laissant la foule derrière eux. D’autres barques les accompagnaient.

Soudain, un vent violent se leva sur le lac. Les vagues se mirent à déferler dans la barque, au point qu’elle commençait à se remplir d’eau. Pendant ce temps, Jésus, épuisé par une longue journée d’enseignement, dormait paisiblement à l’arrière, la tête posée sur un coussin.

Les disciples, terrifiés, le secouèrent en criant :

— Maître, ne te soucies-tu pas que nous périssions ?

Jésus se réveilla, regarda la tempête, puis ses disciples. D’une voix calme mais puissante, il parla aux vents et à la mer :

— Silence ! Tais-toi !

Aussitôt, le vent tomba, et un grand calme s’établit sur les eaux. Puis, se tournant vers ses disciples, il leur dit :

— Pourquoi avez-vous peur ? Comment se fait-il que vous n’ayez pas foi ?

Mais eux, saisis d’une grande crainte, se murmuraient l’un à l’autre :

— Qui est donc celui-ci, que même le vent et la mer lui obéissent ?

La barque glissait désormais sur une mer d’huile, sous un ciel redevenu serein, tandis que les disciples méditaient sur la puissance et l’autorité de leur Maître.

Ainsi, ce jour-là, Jésus leur avait révélé les mystères du royaume à travers la parabole du semeur, puis leur avait montré sa souveraineté sur la création en apaisant la tempête. Chaque détail, chaque parole, était porteur d’une vérité plus profonde : la parole de Dieu exige un cœur bien disposé pour porter du fruit, et celui qui règne sur toutes choses est digne d’une confiance absolue.

Et tandis que la nuit enveloppait la mer de Galilée, les disciples, bien que tremblants encore, commençaient à entrevoir la grandeur de Celui qu’ils suivaient.

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