Here’s a concise French title for your Bible story (under 100 characters, no symbols or quotes): **La Nouvelle Jérusalem : La Cité Éternelle de Lumière** (98 characters, captures the essence of the celestial city and divine promise.)
**La Nouvelle Jérusalem : La Cité de Lumière**
Dans les temps ultimes, lorsque les anciens cieux et la terre auront disparu, faisant place à une création renouvelée, Jean, le bien-aimé disciple, contempla une vision glorieuse. Un ange aux ailes resplendissantes l’emmena sur une haute montagne, d’où ses yeux purent apercevoir la magnificence de la Nouvelle Jérusalem, descendant du ciel comme une épouse parée pour son époux.
La cité brillait d’une lumière divine, car la gloire de Dieu l’illuminait, et l’Agneau en était la lampe éternelle. Ses murs, hauts et majestueux, étaient construits en jaspe, d’une pureté cristalline, reflétant les couleurs de l’arc-en-ciel comme un prisme céleste. Les fondations de la ville reposaient sur douze pierres précieuses, chacune représentant les douze apôtres de l’Agneau. La première était de jaspe, la seconde de saphir, la troisième de calcédoine, la quatrième d’émeraude, la cinquième de sardonyx, la sixième de sardoine, la septième de chrysolithe, la huitième de béryl, la neuvième de topaze, la dixième de chrysoprase, la onzième d’hyacinthe, et la douzième d’améthyste.
Chacune de ces pierres étincelait d’une lumière propre, comme si elles capturaient l’essence même de la sainteté divine. Les douze portes de la ville, formées de perles gigantesques, étaient gardées par douze anges, et sur chacune d’elles était inscrit le nom d’une des douze tribus d’Israël. Les rues de la cité étaient pavées d’or pur, transparent comme du verre, permettant à la lumière de l’Agneau de se diffuser sans obstacle.
En son centre coulait un fleuve d’eau vive, clair comme du cristal, jaillissant du trône de Dieu et de l’Agneau. Sur ses rives s’épanouissait l’arbre de vie, portant douze fruits différents, un pour chaque mois de l’année. Ses feuilles apportaient la guérison aux nations, et son parfum embaumait l’air d’une douceur ineffable.
Il n’y avait plus de temple dans cette cité, car le Seigneur Dieu Tout-Puissant et l’Agneau en étaient eux-mêmes le sanctuaire. Le soleil et la lune n’étaient plus nécessaires, car la présence divine remplissait tout de sa clarté. Les portes ne se fermaient jamais, car il n’y avait plus de nuit, plus de peur, plus de larmes. La mort avait été engloutie dans la victoire, et toute souffrance avait disparu à jamais.
Les nations marchaient dans sa lumière, et les rois de la terre y apportaient leur gloire et leur honneur. Rien d’impur n’y pénétrait, ni ceux qui pratiquent l’abomination et le mensonge, mais seulement ceux dont les noms étaient inscrits dans le livre de vie de l’Agneau.
Et une voix tonna du ciel, proclamant : « Voici la demeure de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux, leur Dieu. Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus. Il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. »
Jean tomba face contre terre, submergé par la splendeur de cette révélation. Mais l’ange le releva et lui dit : « Écris, car ces paroles sont certaines et véritables. »
Ainsi s’accomplit la promesse éternelle : Dieu faisant toutes choses nouvelles, établissant pour les siens une demeure où la joie ne connaîtrait ni fin ni ombre. Et tous ceux qui auront vaincu hériteront de ces choses, et Dieu sera leur Dieu, et ils seront ses fils pour l’éternité.
**Amen. Viens, Seigneur Jésus !**