Bible Sacrée

**La Guérison du Paralytique et l’Appel de Matthieu** (Note: Since the original title provided is already concise (49 characters) and fits within the 100-character limit, I’ll suggest a slight variation while keeping it faithful to the story’s essence.) **Jésus guérit un paralytique et appelle Matthieu** (48 characters) Alternative options: 1. **La foi du paralytique et l’appel de Matthieu** (45 characters) 2. **Miracles et miséricorde de Jésus à Capernaüm** (49 characters) 3. **Jésus pardonne, guérit et appelle un publicain** (50 characters) All options remove symbols/quotes and stay under 100 characters while preserving the dual focus on the paralytic’s healing and Matthew’s calling. The original title remains excellent if no changes are preferred.

**La Guérison du Paralytique et l’Appel de Matthieu**

Un matin brumeux, à Capernaüm, Jésus se tenait dans une maison humble, enseignant avec une autorité qui captivait les cœurs. La foule s’était rassemblée si dense qu’elle obstruait la porte, chacun avide d’entendre les paroles de vie qui sortaient de sa bouche. Les regards étaient tendus vers lui, certains pleins d’espoir, d’autres de scepticisme, mais tous étaient suspendus à ses lèvres.

Soudain, un bruit de grattement se fit entendre sur le toit de terre et de branchages. Des morceaux de chaume tombèrent, et la lumière du jour perça à travers l’ouverture qui s’élargissait. Les gens levèrent les yeux, surpris, tandis que quatre hommes descendaient avec précaution une civière où gisait un paralytique, le visage empreint de souffrance et d’attente.

Jésus, sans s’émouvoir de l’interruption, fixa l’homme avec une compassion profonde. Voyant leur foi, il déclara d’une voix douce mais puissante : *« Prends courage, mon enfant, tes péchés te sont pardonnés. »*

Un murmure incrédule parcourut l’assemblée. Parmi les scribes et les pharisiens présents, certains échangèrent des regards indignés. *« Comment cet homme ose-t-il pardonner les péchés ? C’est un blasphème ! Dieu seul peut pardonner ! »* pensaient-ils.

Mais Jésus, percevant leurs raisonnements secrets, leur demanda : *« Pourquoi avez-vous de mauvaises pensées dans vos cœurs ? Lequel est le plus facile de dire : “Tes péchés sont pardonnés”, ou de dire : “Lève-toi et marche” ? Mais afin que vous sachiez que le Fils de l’homme a le pouvoir sur la terre de pardonner les péchés… »* Il se tourna alors vers le paralytique et ordonna : *« Lève-toi, prends ton lit et retourne dans ta maison. »*

Et aussitôt, l’homme, dont les membres inertes depuis des années étaient soudain envahis par une force nouvelle, se leva. Il roula sa couche sous les regards ébahis de la foule et s’en alla, glorifiant Dieu. La stupeur se répandit parmi les témoins, et une crainte sacrée les saisit. *« Nous n’avons jamais rien vu de pareil ! »* s’exclamèrent-ils.

**L’Appel de Matthieu**

Plus tard, Jésus marchait le long du lac de Galilée, suivi de ses disciples. Son regard se posa sur un homme assis au bureau des impôts : Matthieu, un publicain, méprisé pour sa collaboration avec les Romains et sa réputation de pécheur.

Sans hésiter, Jésus s’approcha et lui dit : *« Suis-moi. »*

Ces deux mots résonnèrent comme un éclair dans le cœur de Matthieu. Sans un regard en arrière, il abandonna sa table, laissant derrière lui une vie de richesse mais de solitude. Peu après, il invita Jésus dans sa maison pour un grand festin, où de nombreux publicains et pécheurs vinrent s’asseoir avec eux.

Les pharisiens, encore une fois scandalisés, interpellèrent les disciples : *« Pourquoi votre maître mange-t-il avec les publicains et les pécheurs ? »*

Jésus, entendant cela, répondit avec une sagesse qui transperçait leurs cœurs endurcis : *« Ce ne sont pas les bien-portants qui ont besoin de médecin, mais les malades. Allez donc apprendre ce que signifie : “Je prends plaisir à la miséricorde, et non aux sacrifices.” Car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. »*

**La Fille de Jaïrus et la Femme Hémorroïsse**

Alors que Jésus poursuivait son chemin, un chef de synagogue nommé Jaïrus se jeta à ses pieds, désespéré. *« Ma fille vient de mourir, mais viens, impose-lui les mains, et elle vivra ! »*

Jésus se mit en route avec lui, suivi par une grande foule. Sur le chemin, une femme qui souffrait depuis douze ans d’une perte de sang s’approcha discrètement. Elle pensait : *« Si seulement je touche le bord de son vêtement, je serai guérie. »*

Elle étendit une main tremblante et effleura son manteau. Aussitôt, elle sentit en elle que son mal la quittait.

Jésus, percevant qu’une force était sortie de lui, se retourna : *« Qui m’a touché ? »*

Les disciples, étonnés, dirent : *« Tu vois la foule qui te presse, et tu demandes qui t’a touché ? »*

Mais Jésus insista, cherchant celle qui avait été guérie. Alors, la femme, tremblante de crainte, se prosterna et avoua tout.

Jésus lui dit avec tendresse : *« Ma fille, ta foi t’a sauvée. Va en paix. »*

Pendant ce temps, des messagers arrivèrent pour annoncer à Jaïrus : *« Ta fille est morte, pourquoi déranger encore le maître ? »*

Mais Jésus, posant une main rassurante sur l’épaule du père éploré, déclara : *« Ne crains pas, crois seulement. »*

Arrivé à la maison, il renvoya les pleureurs et, prenant la main de l’enfant, dit : *« Jeune fille, lève-toi. »*

Et la vie revint dans son corps. Elle ouvrit les yeux et se leva, à la stupéfaction de tous.

**Conclusion**

Ces miracles manifestaient la puissance et la compassion de Jésus, le Fils de Dieu, venu pour guérir, pardonner et appeler les pécheurs à la repentance. Chaque détail révélait son autorité divine et son amour infini, laissant les foules émerveillées et les cœurs transformés.

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