**La Promesse du Consolateur** (Note: Since the original title provided is already concise, meaningful, and fits within the 100-character limit, I’ve kept it as is. It perfectly captures the essence of the story—Jesus’ promise of the Holy Spirit as the Comforter. No symbols or quotes were present in the original.) Alternative (if variation is desired): **Jésus Promet le Consolateur** (28 characters) Both titles are clear, faithful to the text, and within the constraints. The first remains the strongest choice.
**La Promesse du Consolateur**
Le soir tombait doucement sur Jérusalem, teintant les murs de la ville d’une lueur dorée. Jésus et ses disciples se trouvaient dans une pièce tranquille, où l’air était chargé à la fois de paix et d’une tension subtile. Les disciples sentaient que quelque chose d’important allait se passer, mais leurs cœurs étaient lourds de questions.
Jésus, les regardant avec une tendresse infinie, prit la parole : « Je vous ai dit ces choses afin que vous ne soyez pas scandalisés. Ils vous excluront des synagogues ; et même l’heure vient où quiconque vous fera mourir croira rendre un culte à Dieu. »
Un frisson parcourut l’assemblée. Pierre serra les poings, Jacques échangea un regard inquiet avec Jean. Mais Jésus poursuivit, sa voix aussi calme que les eaux profondes : « Je ne vous ai pas dit cela dès le commencement, parce que j’étais avec vous. Mais maintenant, je m’en vais vers celui qui m’a envoyé, et aucun de vous ne me demande : « Où vas-tu ? » »
La tristesse envahit les disciples. Thomas, toujours prompt à exprimer ses doutes, murmura : « Seigneur, nous ne savons pas où tu vas. Comment en connaîtrions-nous le chemin ? »
Jésus leur adressa un sourire empreint de compassion. « À cause de ma parole, votre cœur est rempli de chagrin. Pourtant, je vous dis la vérité : il est avantageux pour vous que je m’en aille, car si je ne pars pas, le Consolateur ne viendra pas vers vous ; mais si je m’en vais, je vous l’enverrai. »
Les disciples se penchèrent en avant, captivés. « Quand il sera venu, reprit Jésus, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice et le jugement. Le péché, parce qu’ils ne croient pas en moi ; la justice, parce que je vais vers mon Père et que vous ne me verrez plus ; le jugement, parce que le prince de ce monde est déjà jugé. »
Jean, le disciple bien-aimé, sentit son cœur battre plus vite. Il y avait tant de choses qu’il ne comprenait pas encore, mais la promesse de ce Consolateur lui donnait une espérance inexplicable.
Jésus, lisant dans leurs pensées, continua : « J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter maintenant. Quand le Consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité ; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir. »
Un silence sacré enveloppa la pièce. Les disciples commençaient à entrevoir que Jésus ne les abandonnait pas, mais leur préparait une présence encore plus profonde.
« Il me glorifiera, ajouta Jésus, parce qu’il prendra de ce qui est à moi et vous l’annoncera. Tout ce que le Père a est à moi ; c’est pourquoi j’ai dit qu’il prendra de ce qui est à moi et vous l’annoncera. »
Les paroles de Jésus résonnèrent comme une mélodie céleste dans leurs cœurs. Bien que la croix se dressait à l’horizon, bien que la souffrance les attendait, ils comprenaient maintenant que rien ne pourrait les séparer de l’amour de Dieu.
Jésus conclut avec douceur : « Encore un peu de temps, et vous ne me verrez plus ; et puis encore un peu de temps, et vous me verrez, parce que je vais vers le Père. »
Les disciples échangèrent des regards perplexes. « Que signifie ce peu de temps dont il parle ? » murmura Philippe.
Mais Jésus, connaissant leurs interrogations, leur dit : « En vérité, en vérité, je vous le dis, vous pleurerez et vous vous lamenterez, et le monde se réjouira ; vous serez dans la tristesse, mais votre tristesse se changera en joie. »
Il leur fit alors une comparaison : « Une femme, lorsqu’elle enfante, éprouve de la tristesse parce que son heure est venue ; mais lorsqu’elle a donné le jour à l’enfant, elle ne se souvient plus de la souffrance, à cause de la joie qu’elle a de ce qu’un homme est né dans le monde. »
Les visages des disciples s’éclairèrent peu à peu. Jésus leur promettait que leur douleur présente serait transformée en une joie éternelle.
« Vous donc aussi, dit-il, vous êtes maintenant dans la tristesse ; mais je vous reverrai, et votre cœur se réjouira, et personne ne vous ravira votre joie. En ce jour-là, vous ne me demanderez plus rien. En vérité, en vérité, je vous le dis, ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donnera. Jusqu’à présent, vous n’avez rien demandé en mon nom. Demandez, et vous recevrez, afin que votre joie soit parfaite. »
La nuit était maintenant tombée, mais une lumière intérieure commençait à briller dans le cœur des disciples. Jésus leur avait ouvert les portes d’une nouvelle ère, où l’Esprit Saint serait leur guide, leur consolateur, leur force.
Et bien que l’ombre de la croix approchait, la promesse de la résurrection et de la présence éternelle de Dieu les remplissait d’une espérance indestructible.
Ainsi se conclut cet enseignement, dans l’attente de l’accomplissement de toutes choses.